Cercle des partenaires
Le Cercle des partenaires est composé de personnes représentant chaque organisation partenaire, du titulaire de la Chaire et de son équipe. Son objectif est de favoriser les échanges, d'orienter les activités de la Chaire et d'accroître l'impact et l'influence de ses réalisations.
Partenaires
Les partenaires du Cercle se rencontrent jusqu’à quatre fois par année à l’Université Laval ou dans une communauté collaboratrice.
Découvrez nos partenaires en cliquant sur leur nom :
La Première Nation des Innus Essipit constitue une société ouverte et dynamique qui a su, au cours des ans, tisser des liens, non seulement avec d’autres Premières Nations, mais également avec des organismes et entreprises voués au développement socioéconomique, à la préservation du patrimoine environnemental et à l’épanouissement culturel de la région. Depuis plus de 35 ans, la Première Nation des Innus Essipit est guidée par une structure communautaire qui oriente leurs actions et guide leur démarche vers l’autonomie gouvernementale. Qu’il s’agisse de développement économique, de création d’emploi ou de programmes sociaux et culturels, tout à Essipit procède d’une approche collective. C’est de cette façon, en continuant de travailler comme une seule équipe unie et solidaire, que l’organisation saura poursuivre le développement de sa communauté dans le respect de sa devise « Pour nos pères et nos enfants ».
Représentante et représentant: Kathleen Goulet et Julia Leguerrier
Pekuakamiulnuatsh Takuhikan est l’organisation politique et administrative de la Première Nation des Pekuakamiulnuatsh. Cette Première Nation comprend près de 6 700 membres dont plus de 2 000 demeurent dans la communauté de Mashteuiatsh au Lac-Saint-Jean. Les Pekuakamiulnuatsh vivent depuis des millénaires sur un vaste territoire qui s’étend au-delà des bassins versants du Lac Saint-Jean (Pekuakami). Mashteuiatsh, qui signifie «Là où il y a une pointe», a toujours été un point de ralliement et de rencontre.
Pekuakamiulnuatsh Takuhikan est l'employeur principal de la communauté avec plus de 350 personnes employées dans plusieurs champs d'activité de la vie courante. Il existe aussi plus d’une centaine d’employeurs ou entreprises privées actives à Mashteuiatsh, dont plus d’une dizaine dans le domaine de la foresterie.
De plus, deux importantes sociétés œuvrent dans le domaine économique: la Société de Développement Économique Ilnu (SDEI), un organisme sans but lucratif principalement dédié à soutenir le développement de l'entrepreneuriat et Développement Piekuakami Ilnuatsh (DPI), une société en commandite principalement dédiée à réaliser des contrats et des actions de partenariats économiques pour la Première Nation.
Représentants: François Buckell et Gabriel Duchesne-Kurtness
La nation innue de Pessamit est située sur la Côte-Nord, à mi-chemin entre Forestville et Baie-Comeau. Son territoire (Innu Assi) est de 252 km2. Par ailleurs, le territoire ancestral (Nitassinan) des membres de Pessamit couvre une superficie de plus de 137 000 km2. La population compte environ 3 950 membres, dont 2 820 résidants. On retrouve à Pessamit une vingtaine d’entreprises dans le domaine des pêches, de la forêt, des travaux civils, de la villégiature et du commerce au détail.
Représentants: Adélard Benjamin et Éric Kanapé
La communauté de Wemotaci est située sur les bords de la rivière Saint-Maurice, rivière aux poissons blancs, nommée Atikamekw Sipi par le Peuple Atikamekw qui occupent le territoire depuis des millénaires. Le site de Wemotaci, au pied des montagnes et aux abords d’un carrefour de rivières, a été judicieusement choisi par les Atikamekw pour sa situation géographique et son accessibilité.
Au cours du 20e siècle, de nombreux développements sont venus bousculer les activités et le mode de vie des Atikamekw. Le chemin de fer, les activités forestières, hydroélectriques et de villégiatures sont aux nombres de ces développements auxquels les Atikamekw ont contribué par leur main-d’œuvre et l’accessibilité aux territoires des familles concernées.
Représentantes et représentant: Marie-Laure Lusignan et Doriane Petiquay
Oujé-Bougoumou est la plus récente communauté d'Eeyou Istchee et est située sur les rives du lac Opemiska. Leurs aînés ont choisi ce site comme endroit où bâtir l’avenir de la communauté. Vivre en harmonie avec la nature, respecter et préserver leur terre, et prendre soin de leurs familles et amis dans un mode de vie équilibré de culture traditionnelle et contemporaine.
Les systèmes de connaissances de la communauté Oujé-Bougoumou sont intrinsèquement liés à la terre et aux lieux où se tiennent les cérémonies, les animaux sont chassés, les plantes sont cueillies et les histoires racontées.
Représentants: Arthur Bosum et Rodney MacDonald
Représentant: Ken Arsenault
La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk est située à Cacouna en bordure du fleuve Saint-Laurent, autrefois appelée Malécite de Viger. Étant la seule communauté Wolastoqey située au Kepek (Québec), elle fait partie de la grande Nation du peuple de la belle et généreuse rivière « Wolastoqiyik ».
Cette Nation regroupe huit (8) communautés réparties sur le Wolastokuk, leur territoire ancestral. Les Wolastoqiyik occupent ce territoire depuis des temps immémoriaux. Les membres ne vivent de façon dispersée sur territoire québécois, canadien et américain et parlent majoritairement le fraçais tandisque certains parlent anglais. La langue de leurs ancêtres, le wolastoqey latuwewakon, est encore parlée par certains locuteurs du Maine et du Nouveau-Brunswick. Elle est également en apprentissage depuis plusieurs années par certains Wolastoqiyik de la communauté Wahsipekuk.
Aujourd’hui, la communauté Wahsipekuk dispose de deux terres de « réserve » au Bas-Saint-Laurent : une à Cacouna et la seconde à Kataskomiq, anciennement nommée Whitworth dans le secteur de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.
Représentant: Pierre Escalet et Bruno Theriault
W8banaki, anciennement le Grand Conseil de la Nation Waban-Aki Inc., fondé en 1979, est un Conseil Tribal regroupant les communautés abénakises d’Odanak et de Wôlinak. Sa première mission, élaborée en décembre 1993, fut révisée et corrigée, à la demande du Conseil d’administration, par un comité de travail formé de membres d’Odanak et Wôlinak, en mars 1997. À partir des huit objectifs énoncés dans les lettres patentes de la Corporation Waban-Aki Inc., le comité mandaté a identifié trois éléments principaux de sa mission ; la représentation, le développement et l’administration.
Représentant: Edgar Blanchet
L’Institut Ashukan est une firme qui offre des services de formation, de recherche et de conseils stratégiques sur les réalités autochtones afin d’accompagner les organisations qui le souhaitent dans leurs relations avec les peuples autochtones.
Devant le mouvement national et international que prend la réconciliation avec les peuples autochtones, de plus en plus d’organisations s’intéressent aux enjeux autochtones et souhaitent identifier des pistes d’actions concrètes pour leur personnel. Plusieurs défis majeurs se trouvent dans la mise en œuvre d’une telle réconciliation, dont celui de tisser de nouveaux liens entre les nations et d’envisager ces processus comme des opportunités de développement pour les collectivités.
Représentant: Alexandre Bacon
Le ministère des Ressources naturelles et des Forêts assure la gestion et soutient la mise en valeur des ressources forestières et minérales, ainsi que du territoire du Québec, dans une perspective de développement durable.
Pour accomplir sa mission, le Ministère mise avant tout sur l’engagement quotidien de son personnel et sur son expertise de pointe. Dans l’histoire de l’organisation, l’acquisition et le développement du savoir scientifique sont non seulement un actif précieux, mais aussi une nécessité pour assurer un développement cohérent et responsable des ressources.
Représentant: Andrée-Anne Déry et Simon St-Georges
Le Secrétariat aux relations avec les Premières Nations et les Inuit a la responsabilité première d’assurer le lien entre les Autochtones et le gouvernement du Québec. Il travaille avec les Premières Nations et les Inuit afin de leur faciliter l’accès aux divers programmes gouvernementaux et, dans certains cas, d’adapter les activités gouvernementales à leurs besoins.
Il incombe au Secrétariat d’établir des relations harmonieuses et des partenariats entre les Autochtones et le gouvernement, ainsi qu’entre les Autochtones et la population. Cela s’exprime notamment par la négociation d’ententes, la diffusion d’information appropriée et un appui au développement social, économique et culturel des Premières Nations et des Inuit.
Représentant: Éric Chabot
La Société du Plan Nord a pour mission de contribuer au développement intégré et cohérent du territoire nordique québécois, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Elle le fait en concertation avec les représentants des régions et des nations autochtones concernées, ainsi que du secteur privé.
Représentant: Rudy Prévost
Le Centre de foresterie des Laurentides (CFL) est l’un des cinq centres de recherche du Service canadien des forêts de Ressources naturelles Canada. Ses forces de recherche s’articulent autour des quatre axes suivants: les ravageurs des forêts, la dynamique des écosystèmes, la productivité des forêts et l’écogénomique. Au-delà de ces axes de recherche, le CFL contribue à harmoniser l’excellence scientifique avec la pertinence des politiques publiques, ainsi qu’à maintenir et accroître les partenariats du Service canadien des forêts avec les autres ministères fédéraux, les provinces, FPInnovations, les organismes de recherche, les universités, les communautés autochtones et les collectivités forestières.
Représentant: Frank Grenon
Services aux Autochtones Canada (SAC) travaille en collaboration avec des partenaires en vue d'améliorer l'accès à des services de haute qualité pour les Premières Nations, les Inuit et les Métis. Leur vision est d'appuyer et d'habiliter les Autochtones afin qu'ils puissent offrir de façon indépendante des services et aborder les différentes conditions socio-économiques au sein de leurs communautés.
Représentant et représentante: Alain Girard et Aude Tousignant
Principal porte-parole de l’industrie forestière du Québec, le Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ) représente les intérêts des entreprises de sciage résineux et feuillus, de déroulage, de pâtes, papiers, cartons et panneaux et fabricants de bois d'ingénierie. Par son expertise et celle de ses partenaires, le CIFQ oriente et soutient ses membres dans les enjeux concernant notamment la foresterie et l’approvisionnement, l’environnement et l’énergie, la reconnaissance de la qualité des produits, les ressources humaines, la santé et sécurité du travail, ainsi que la veille légale, économique, réglementaire et de développement des marchés.
Œuvrant auprès des instances gouvernementales, des autres acteurs du secteur forestier et du grand public, le CIFQ met en valeur la contribution de ses membres au développement socio‐économique, à l’utilisation responsable des ressources naturelles, à l’aménagement durable des forêts et à la qualité écologique des produits.
Représentante: Caroline Flaschner
Représentants par entreprise:
Boisaco: André Gilbert
Chantiers Chibougamau / Nordic Structures: Dave Lepage
Remabec: Marc Proulx
Résolu Produits Forestiers: Étienne Vézina
L’Association des produits forestiers du Canada (APFC) est le porte-parole des producteurs canadiens de bois, de pâte et de papier pour les questions touchant le gouvernement, le commerce et l’environnement. L’industrie canadienne des produits forestiers a un chiffre d’affaires de 72 milliards de dollars par année. Elle a des activités dans des centaines de collectivités forestières et procure plus de 345 000 emplois directs et indirects d’un océan à l’autre.
Représentant: Étienne Bélanger
Le Québec est reconnu pour l’immensité de ses territoires naturels sauvages, ainsi que pour sa faune et sa flore abondante, diversifiée et impressionnante. Depuis déjà près de 40 ans, la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) a le privilège d’administrer, d’exploiter et de mettre en valeur les lieux grandioses qui lui sont confiés par le gouvernement du Québec.
La Sépaq met en valeur les territoires et les actifs publics qui lui sont délégués et en assure la pérennité au bénéfice de sa clientèle, des régions du Québec et des générations futures. Forte de l’engagement de son équipe, elle connecte les gens à la nature.
Représentant: Jessy Dynes
La Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) a pour mission de protéger la forêt, les communautés et les infrastructures stratégiques contre les incendies de végétation, tout en assurant la pérennité du milieu forestier. L’organisme compte environ 450 personnes employées réparties à travers le Québec. Au siège social de Québec s'ajoutent quatre bases principales situées à Baie-Comeau, Roberval, Maniwaki et Val-d’Or, ainsi que plusieurs bases secondaires et d'appoint. La SOPFEU voit à tout ce qui touche l'optimisation de la protection des forêts contre les incendies, de la formation à l'information, en passant par la météo, les télécommunications ou l'informatique. Organisme sans but lucratif, la SOPFEU lie le gouvernement du Québec, l’industrie forestière et les grands propriétaires de boisés privés.
Représentant: Claude Tremblay
Groupe-conseil Forchemex est une firme de génie-conseil œuvrant depuis plus de 30 ans dans des champs spécifiques du domaine forestier, tels que:
- L’ingénierie des routes d’accès aux ressources (minières, forestières, éoliennes, etc.), avec plus de 4 500 kilomètres de routes d’accès à son actif
- La connaissance de la forêt, incluant la photo-interprétation, la cartographie et l’inventaire forestier
- 350 000 km² de forêts cartographiées et plus de 20 000 parcelles d'échantillons permanentes ou temporaires
- La planification opérationnelle, incluant des études d’opérations, de déboisement, etc.
- La géomatique, autant pour les besoins de ses projets que comme service d’appoint à ses clients
- Les études et le développement de projets forestiers au Québec et à l’étranger, depuis les études d’opportunité jusqu’aux plans d’affaires
Représentant: Antoine Proulx
Antoine Proulx ing.f. / Gradué en 1990 en Aménagement des ressources forestières de l’Université Laval, M. Proulx est directeur général de l’entreprise depuis 2020. M. Proulx a participé à plusieurs projets d’envergure dont les aménagements de cour d’usine de sciage, l’ingénierie des chemins d’accès principaux au Complexe hydro-électrique de la Romaine à Havre St-Pierre, le chemin d’accès à la mine Tio de Rio Tinto fer et titane de Havre St-Pierre et les chemins d’accès principaux pour les grandes compagnies forestières au Québec cumulant ainsi plus de 30 ans d’expérience. Détenteur d’un BAC en aménagement des ressources forestières, il se spécialise dans la planification, la localisation, l’optimisation des tracés, la surveillance et la gérance des projets de construction de chemin donnant accès aux ressources. Il est également ingénieur responsable des contrats d’inventaire et de cartographie forestière pour le MRNF en plus d’être formateur auprès de compagnies forestières et de l’OIFQ. De plus, il agit en tant qu’expert conseil pour divers clients dans le domaine forestier, privé, minier et de l’énergie.
La Fédération québécoise des coopératives forestières (FQCF) regroupe et représente des coopératives forestières de travailleurs, des coopératives de producteurs, des coopératives de solidarité et des coopératives de travailleurs actionnaires, actives dans le milieu forestier et provenant de toutes les régions forestières du Québec. Une coopérative membre est issue des Premières Nations, d’autres pourraient se joindre et plusieurs coopératives entretiennent des liens avec les communautés autochtones voisines.
Les coopératives sont présentes dans tous les segments de la foresterie, partant de la production de plants, la sylviculture, la récolte, la voirie, le transport de bois, les activités techniques, la vente d’approvisionnement en biomasse ou en énergie et allant jusqu’à la première transformation du bois. La FQCF compte plus d’une trentaine de coopératives membres, représentant un réseau d’environ 2 600 employées et employés et 2 500 producteurs et générant un chiffre d’affaires annuel de près de 300 millions de dollars.
Représentantes: Angela M. Llavé Campos et Stéphanie Morin
L’Association des entrepreneurs en travaux sylvicoles du Québec (AETSQ) est une organisation qui représente près de 60 entreprises œuvrant dans le domaine de la sylviculture. Son rôle est de défendre les intérêts de l’industrie et de ses membres auprès des autorités gouvernementales et autres, tout en assurant la pérennité et la prospérité de ses membres et en visant l’amélioration du savoir-faire et de l’efficacité des entreprises en travaux sylvicoles.
Représentant: Sébastien Bouchard
Chantiers Chibougamau Ltée est une entreprise familiale québécoise fondée en 1961. Son principal complexe industriel, situé à Chibougamau dans le Nord-du-Québec, comporte l’une des plus importantes usines de sciage du Québec et l’une des plus imposantes usines de fabrication de bois d’ingénierie au monde, avec la poutrelle en I, le bois lamellé-collé et le bois lamellé-croisé qui portent tous la marque «Nordic Structures».
Représentante et représentant: Geneviève Labrecque et Dave Lepage
En tant que leader de la foresterie durable, le Forest Stewardship Council (FSC®) bénéficie de la confiance des ONG et des entreprises partout dans le monde pour protéger des forêts saines et résilientes pour tous, pour toujours.
FSC est chef de file de la gestion durable des forêts, exploitant le système de certification forestière le plus rigoureux et le plus fiable au monde.
Leur label «check tree» se retrouve sur des millions de produits dans le monde, vérifiant l'approvisionnement durable de la forêt jusqu'aux rayons des magasins.
Représentant et représentante: François Dufresne
La Sustainable Forestry InitiativeMD (SFI) met de l'avant l'importance des forêts durables pour l'avenir collectif. SFI est un chef de file de la foresterie durable grâce à son travail en matière de normes, de conservation, de développement communautaire et d’éducation. Sa mission est de favoriser le développement durable grâce à des collaborations axées sur la forêt.
En tant qu’organisme à but non lucratif indépendant, SFI collabore avec son réseau diversifié pour proposer des solutions aux défis locaux et mondiaux du développement durable. SFI travaille avec le secteur forestier, les propriétaires de marques, les groupes de conservation, les professionnelles et professionnels des ressources, les propriétaires fonciers, le personnel enseignant, les collectivités locales, les Autochtones, les administrations publiques et les universités.
Représentante: Christine Leduc
Représentante: Marie-Elaine Gagnon
